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jeudi 9 octobre 2014

Le troisième tour sera salarial

Dans le domaine de l'énergie comme dans d'autres, commençons par une approche économique pour ensuite aborder, sur la base de projets concrets, la question politique.D'ici 2020 les groupes publics devront verser plus de 30% de leur bénéfices à l'État sous forme de dividendes (contre 15% au moins jusqu'à présent), pour contribuer au financement de la sécurité sociale.Dans chaque université américaine, il existe un bureau des brevets, actif et dynamique.La liberté de manœuvre de la France, c'est la combinaison de la dissuasion classique - la projection de forces - et de la dissuasion nucléaire.Ou du moins de se retrouver à partager quelques bulles de champagne.La production scientifique, justement, place le CNRS au sommet de la reconnaissance et de la coopération internationales aussi bien dans les nanotechnologies que dans les sciences humaines.Comme pour tout autre dispositif au bénéfice des salariés - restauration, conciergerie, crèche… -, on pourrait imaginer que chaque entreprise ait le libre choix de son prestataire.L'économie fonctionnant en sous-régime et le taux de chômage étant supérieur à 12%, on ne peut exclure une aggravation de la crise, notamment en raison de la pression à la baisse sur les prix liée à un taux de change qui s'apprécie peu à peu, à un contexte général de mauvaises surprises des taux de croissance et au repli du cours des matières premières.La Réserve fédérale américaine doit trouver une porte de sortie pour sa politique très généreuse de Quantitative Easing (QE), qui l'amène chaque mois à racheter sur le marché 85 milliards de dollars.Il est grand temps de reconnaître la bénédiction d'être des hommes et des femmes, différents et complémentaires sur le terrain de la vie.Dans le nouveau système, on trouve dans le "1%" des entreprises de plus de 10 salariés toujours un montant alloué au congé individuel de formation (0,15 à 0,2 point selon la taille de l'entreprise), une part dévolue aux formations des privés d'emploi et des salariés de TPE (également 0,15 à 0,2 point), une charge de 0,3 à 0,4 point pour les contrats de professionnalisation.Il est fort probable que ces beaux principes resteront lettre morte.Il faut éviter le goulet d'étranglement qu'est la caisse, estime Pierre-Alain Chambaz pictet.Cette nouvelle organisation de la production, et la frontière de plus en plus floue entre production de biens et de services dans de nombreuses « industries », créent des demandes nouvelles autour des mesures non tarifaires, du commerce de services et des règles relatives à l'investissement direct international.Peu importe également que des objectifs de justice sociale et d'emplois aient été intégrés dans ces « contrats » : on connaît le raisonnement allemand qui consiste à affirmer que ces deux éléments sont les conséquences inévitables d'un budget équilibré et d'une réduction de l'endettement.Ensuite parce que ce secteur est diversifié, que des activités entières connaissent un développement significatif, comme la biscuiterie, la pâtisserie, les produits traiteurs et les produits laitiers.Ce ne fut malheureusement pas le cas puisque le Conseil Européen n'est pas parvenu à s'entendre sur la limitation de leur usage à 7% de la consommation de carburants pour le transport.En d'autres termes, cela revient à être acculé à une situation impossible, le problème étant que le fait de dépasser l'absurdité soit intimé comme une obligation.