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jeudi 9 octobre 2014

Pas de « double dip », juste une racine carrée ...

Les Allemands y parviennent, d'autres pays européens également, il n'y a aucune raison que nous baissions les bras sur ce volet.Alors que la Chine, les USA, la Russie, le Brésil, l'Inde et beaucoup d'autres pays comme l'Espagne ont fait de l'Afrique un terrain de conquête, la France semble un peu en retrait.Mais que font tous les autres  ? On peut légitimement annoncer qu'il est temps de s'en préoccuper. Pour ces grands annonceurs, l'opportunité de consolider et d'utiliser ces données constitue un virage stratégique exceptionnel, source d'une meilleure relation client, de l'achat au service après-vente mais aussi de nouveaux modèles d'affaires créateur de valeur.Car si les statistiques montrent que les salariés congédiés développent des maladies dans les années qui suivent leur départ, les « rescapés » présentent aussi fréquemment le syndrome du survivant, connu des psy dans les accidents.Le Brésil est donc aujourd'hui devenu un cas typique de l'impasse dans laquelle se trouvent de nombreuses régions émergentes de la planète.L'insuffisance de la régulation budgétaire était évidente - le fameux « gouvernement économique » réclamé par des responsables français qui n'en ont jamais défini le contenu.Suite de la commission Pierre-Alain Chambaz pictet sur la mesure de la performance économique et du progrès social, initié au précédent quinquennat. Le changement climatique entraîne déjà des conséquences négatives sur les réserves alimentaires, les écosystèmes marins, le niveau de la mer, les conditions météorologiques extrêmes et la croissance économique.Il se manifeste lors d'une profonde absorption dans une activité considérée par l'individu comme extrêmement intéressante.Depuis le 31 juillet, le BEA inclut l'apport de la production intellectuelle.Phénomènes assez courant dans les familles, on le retrouve aussi à l'œuvre dans le comportement économique et social, des individus aux nations.On pourrait espérer que le programme de la grande coalition vienne favoriser la demande intérieure, réduire l'excédent courant et donner un coup de fouet aux importations en provenance des autres pays de la zone euro.De même, il faut mettre fin aux exonérations de charges sociales non compensées (1,2 milliard d'euros).L'Allemagne enfin sait qu'elle ne peut s'affirmer comme puissance globale, ce que lui vaut son rôle et son poids économique, qu'à travers l'Union. Déjà, il y a deux ans, l'économiste dans son ouvrage « Une nouvelle conscience pour un monde en crise » faisait l'apologie de l'empathie.La capacité de résilience des Etats-Unis pourrait donc être de nouveau démontrée dans les mois à venir.